samedi 18 avril 2009

CREATION 2009.



Photos : Odile Verhille/ DILO.
















Pollution : on connait la musique !








Performance danse / théâtre

Ce thème qui convient à une conjonction de notre époque, en productions d’image et de la danse théâtralisée, reste un lien de créativité valide : c’est un moyen d’expression, tant par la production des formes, ainsi qu’avec l’acte théâtral, même si et surtout, le premier n’est pas la danse et encore moins la danse classique.
On « raconte » sur la scène un certain parcours d’hommes et de femmes, en traversant les époques, qui vivent dans la pollution, événement saillant de notre société.

Cette réalisation est une création de Lina Sittner (www.laure-lina.com), avec la complicité de Jean-Michel Llanes (http://www.koutoufla.com/).


Recherche et réalisation chorégraphique : Laure Sittner

Mise en scène et direction d’acteur : Jean-Michel Llanes

Interprète (automate-vivant, comédienne, danseuse) : Lina

Montage sonore : Jean-Michel Llanes
Dont des extraits principaux de : Franco Battiato, Nina Hagen, Santana, Le peuple de l’herbe, Massive Attack, D-J’S, klaus Nomi.

Réalisation des costumes : Laure Sittner

Maquillage : Laure Sittner

Décors et accessoires : Laure Sittner



* ce projet est, à ce jour, conceptualisé pour aboutir sur une performance vidéo "vjing", avec la participation d’Odile Verhille : technicienne – vidéaste ; cadreuse – monteuse.

odileverhille@hotmail.com
http://www.dilovideo.info/









« Pollution, on connait la musique » est fait de plusieurs outils pour penser le monde, cela entend ménager un vide pour permettre de résonner ; un renouvellement de l’imaginaire : la bagarre du corps et de l’esprit.
Dans cette irradiation de la chair, du plastique et de l’interprète, avec beaucoup d’émotion, l’histoire de ce thème fragile « pollution, on connait la musique », souverain, irréductible, associé à ces arts (le mime, le théâtre, la danse…) aide à comprendre, à ressentir, voir à mieux réagir.
L’autorité de la présence de l’interprète est mise en avant, comme pour dire que la machine humaine est responsable de l’environnement qu’elle a.
                                                                                    photos : Ariel Mendes.



Dans le brouhaha de la ville, on manifeste le même appétit pour la souffrance que pour le rire ; si l’un et l’autre s’épanouissent, l’Homme, dans ses générosités comme dans ses mystères, à pris l’envergure de la pollution.
L’un des plus authentiques thèmes d’aujourd’hui et de demain.









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